Il était une fois, un petit loup qui se nommait Wolfi. Un jour, il se promenait dans la forêt avec sa maman et son papa, quand soudain ils entendirent des gros bruits (BOUM-RRR-TCHAA), des méchants chasseurs voulaient prendre le petit Wolfi pour sa belle fourrure blanche. Avec ses parents, ils prirent la fuite et se mirent à courir très très très vite.
Avec ses petites pattes Wolfi perdit le rythme, et ne réussit pas à suivre ses parents. Ses parents, n’ayant pas remarqué que Wolfi était à la traîne, continuèrent leur chemin.
A bout de souffle, le petit loup fit une pause sans s’apercevoir que les méchants chasseurs étaient derrière lui. Il se fit attraper et il fut mis dans le camion, ils l’emmenèrent dans leur prison. Une fois sur place ils mirent Wolfi dans une cage avec plein d’autres petits d’animaux. Ils avaient tous le visage déformé et défiguré, ce n’était vraiment pas beau à voir.
Deux heures plus tard, il entendit les humains parler, ils disaient qu’ils allaient faire des expériences sur sa belle fourrure blanche. Après avoir entendu cette nouvelle menaçante Wolfi s’écria:
– « A L’AIDE ! AU SECOURS ! MAMAN, PAPA VENEZ ME CHERCHER !! »
– « Arrête de hurler, cela ne va pas te faire sortir d’ici » dit un petit lapin
– « Mais comment vais-je faire ? et toi, comment es-tu arrivé ici ? » répliqua Wolfi.
– « J’ai été capturé dans un champ alors que je gambadais avec une carotte dans la bouche » dit le petit lapin.
– « Oh ! Je suis sincèrement désolé, mais il faut que l’on trouve un moyen de s’échapper ».
– « Oui, j’ai une idée ! On va grimper les uns sur les autres et prendre les clés qui sont accrochées » dit le petit lapin.
-« Très bonne idée, faisons cela » ajouta Wolfi.
Après avoir dit cela Wolfi et tous les autres animaux firent une échelle et prirent les clés.
– « Aller ! Sortons d’ici ! » s’exclama Wolfi.
Ils prirent les clés, ouvrirent la porte et partirent à toute allure en criant :
– « LIBERTÉ !!
Ensuite chacun alla rejoindre sa famille respective dans la joie et la bonne humeur, les pleurs de joie et les câlins.
Gloire Bantsimba et Josya Thezenas